Test Asus ROG Strix Scar 18 2025 : une vraie bête de course qui n’oublie pas d’avoir du style
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4599.98€
Dans la famille des PC portables Asus, on demande la grosse bécane qui va faire saliver les hardcore gamers. Avec son écran mini LED 18 pouces QHD+ 240 Hz, son processeur Intel Core Ultra 9 et – surtout – son GPU Nvidia GeForce RTX 5080, l’Asus ROG Strix Scar G835LW est incontestablement une bonne pioche… pour peu qu’on soit prêt à investir une petite fortune.
Depuis l’annonce des nouveaux GPU Nvidia, en tout début d’année, les constructeurs de PC portables dédiés aux joueurs mettent à jour leurs configurations musclées, avec plus ou moins de finesse (dans tous les sens du terme). Au catalogue Asus, on trouve deux types de configurations destinées aux joueurs invétérés : les ROG Zephyrus, (relativement) fins et légers (disponibles au formats 14 ou 16 pouces), et les ROG Strix, qui misent tout sur les performances et le confort d’utilisation, quel que soit le poids à porter (et le prix à payer).
Ainsi, si le Razer Blade 16 2025, que nous avons récemment testé, mise sur la finesse et l’élégance, le nouveau Rog Strix Scar 18 d’Asus est un très gros bébé qui met l'accent sur une puissance extrême (« what else ? » diraient les véritable hardcore gamers) et sur un design résolument adapté à son audience potentielle (il clignote de presque partout !). Quelles surprises nous cache ce monstre de performances ? Les prestations de la configuration sont-elles à la hauteur du sacrifice pécunier exigé pour son acquisition ? Voyons cela en détail.
Prix et disponibilité
L’Asus ROG Strix 18, version 2025, se repère dans les boutiques en ligne grâce à la référence G835LW. Le modèle que nous avons testé est commercialisé pour la somme rondelette de 4600 €. Pour ce prix, l’ordinateur intègre la crème de la crème en matière de composants et d’équipement :
Asus ROG Strix Scar 18 G835LW | |
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Ecran | Ecran 18 pouces mini LED QHD+ |
CPU | Processeur Intel Core Ultra 9 275HX |
GPU | GPU Nvidia GeForce RTX 5080 |
RAM | 64 Go- |
Mémoire interne | SSD 1 To |
Clavier | Rétroéclairé chiclet |
OS | Windows 11 |
Batterie | lithium-ion-polymère 90% Chargeur de 380W |
Poids | 3,48 kg |
Dimensions | 39.9 x 29.8 x 2.35 ~ 3.20 cm |
Pour faire baisser la facture, on peut se tourner vers un modèle équipé « seulement » d’un GPU Nvidia GeForce RTX 5070 Ti. Si on fait ce choix, la facture est ramenée à 3900 €. Mais, si on peut se permettre de dépenser une somme encore plus importante, le summum de la gamme Strix Scar 18 G836LW embarque le GPU Nvidia GeForce RTX 5090. On peut trouver ce modèle chez LDLC, pour la modique somme de 5600 € (avec 2 To de stockage !). Bon point, jusqu’au 31 mai, Asus offre en bonus le jeu Monster Hunter Wilds (d’une valeur d’environ 45 €).
Un design gamer full rgb
Qui dit « écran 18 pouces », dit également format des plus imposants. C’est fatal, si on désire bénéficier d’un confort d’utilisation optimal, avec la plus grande surface d’affichage possible. Du coup, le PC portable pèse pas moins de 3,48 kg, et mesure 40 x 30 cm, pour 2,35 cm d’épaisseur. En le soulevant, on prend rapidement conscience que le Strix 18 est plus un « PC transportable » qu’un PC portable classique, et que sa vocation n’est pas vraiment de vous suivre toute la journée dans tous vos déplacements.
C’est dommage, car son look ne manquerait pas de provoquer quelques réactions d’admiration ou d’étonnement parmi vos proches. En effet, le dos du châssis est doté du dispositif AnimeVision, que le constructeur fait évoluer sur ses différentes machines (et même sur ses smartphones), depuis plusieurs années. Dans sa mouture de 2025, ce système n’exploite pas moins de 810 LEDs pour afficher diverses animations prédéfinies ou vos propres textes et motifs animés. Et il faut reconnaître que le résultat est visuellement impressionnant.
Mais les effets visuels de l’Asus Strix 18 ne se limitent pas au module AnimeVision. En effet, le châssis est illuminé de toutes parts, à commencer par le clavier, dont les touches disposent d’un rétro éclairage RGB, avec plusieurs effets possibles (éclairage statique, pulsation, cycle de couleurs, etc.). D’ailleurs, la couleur et l’effet sélectionné pour les touches du clavier est également appliqué au logo ROG, présent au dos de l’écran. Le tout est complété par une barre lumineuse qui délivre des effets RGB tout autour du PC portable.
Le clavier offre un bon confort de frappe. Il affiche un pavé numérique (car la place ne manque manifestement pas !) ainsi que des touches d’accès rapide à certaines fonctions :
- Modification du volume sonore
- Activation/désactivation du micro
- Choix du mode de fonctionnement (silencieux, performances ou Turbo)
- Lancement de l’Armoury Crate
Ces cinq touches peuvent être personnalisées pour effectuer d’autres tâches, comme le lancement d’une application.
Rappelons que l’application Armoury Crate d’Asus permet de configurer tous les paramètres du ROG Strix 18 :
- Mode de fonctionnement (Windows, Silencieux, Performances, Turbo)
- Les différents effets d’éclairage RGB
- Les animations du dispositif AnimeVision
- Les fond d’écran animés Aura
- La définition des macros
- Les réglages de l’écran (GameVisual)
Le clavier est complété par un très grand pavé tactile, qui permet à l’index de glisser sans aucun à-coup. Pour la sécurité, l’Asus Strix 18 n’intègre pas de lecteur d’empreintes digitales. La configuration s’en remet aux services de sa Webcam Full HD infra rouge, qui est donc compatible Windows Hello, ce qui permet d’identifier l’utilisateur en reconnaissant son visage lors du démarrage. En revanche, les paranos regretteront l’absence d’un volet de sécurité manuel.
La connectique, quant à elle, s’avère très complète : 3 ports USB A, 2 ports USB C (Thunderbolt 5), une sortie vidéo HDMI 2.1, un connecteur Ethernet et le traditionnel jack audio. A tout cela s’ajoute le connecteur d’alimentation propriétaire. Si on veut faire la fine bouche, on aurait pu aussi envisager la présence d’un lecteur de cartes SD ou microSD, ou d’une sortie vidéo DisplayPort.
Pour le son, l’Asus Strix 18 est équipé de quatre haut-parleurs (deux woofers et deux tweeters). Ceux-ci délivrent un son ample, très bien spatialisé, avec une puissance appréciable et des basses généreuses. Parfait pour écouter de la musique, regarder des films et – bien sur – jouer. Et si la restitution sonore de base de vous donne pas entière satisfaction, l’application Dolby Access procure tout ce qu’il faut pour ajuster le son avec précision (nombreux profils prédéfinis et égaliseur à dix bandes de fréquence).
Enfin, il est impossible de terminer le tour du boîtier sans aborder un point vital pour tout gamer qui se respecte, à savoir l’ouverture. Et dans ce domaine, Asus a fait ce qu’il faut pour faciliter les manipulations au maximum, puisque le capot inférieur de la configuration se retire sans le moindre outil. L’opération est un véritable jeu d’enfant, qui s’effectue en quelques secondes. Il ne faut pas plus de temps pour refermer le tout, une fois qu’on a remplacé les SSD ou les barrettes de mémoire. Un bonheur.
Un écran MiniLED qui n'a rien à envier à de l'OLED
Lorsqu’on envisage d’acquérir un PC portable gamer haut de gamme, on peut avoir le choix entre certaines configurations équipées d’un affichage OLED et d’autres, dotées d’une dalle LCD avec un rétro éclairage mini LED. La technologie a un point fort : elle produit un noir parfait (et donc un taux de contraste quasi infini). Mais elle a aussi un point faible : sa luminosité limitée.
La force de la technologie mini LED, qu’exploite l’écran de l’Asus Strix 18, est d’offrir un taux de contraste quasi équivalent à l'OLED, grâce à pas moins de 2000 zones de dimming, mais avec une luminosité bien plus élevée !
La dalle du PC portable est mate (sans aucun reflet), offre d’excellents angles de vision et affiche des images avec une définition QHD+, soit 2560 x 1600 pixels (format 16 :10). Cette dernière permet d’obtenir des images précises, sans pour autant mettre le GPU à genoux, comme pourrait le faire le mode 4K (3840 x 2400 pixels).
D’autre part, le taux de rafraichissement maximal est de 240 Hz. C’est largement suffisant pour obtenir des animations hyper fluides et donc une réactivité maximale, qui peut aider à prendre l’avantage sur ses adversaires dans certains jeux ultra compétitifs en ligne comme Fortnite. Et, grâce à la technologie G-Sync, l’affichage est dénué du moindre effet de déchirement d’image.
Pour ce qui est des performances de l’écran, Asus annonce une luminosité de 500 nits, avec un pic HDR pouvant atteindre 1200 nits, et une couverture totale du gamut DCI-P3 (100%). D’autre part, la compatibilité Dolby Vision assure une qualité visuelle optimale lorsqu’on visionne des vidéos en streaming compatibles avec ce standard.
Et force est de constater que les promesses du constructeur ont été vérifiées par les mesures que nous avons réalisées à l’aide de notre sonde Calibrite Display Pro HL. En effet, la luminosité maximale a été mesurée à 550 nits, en SDR, et à 940 nits en HDR. Dans ce dernier mode, l’écran s’avère donc deux fois plus lumineux qu’une dalle OLED, qui plafonne généralement aux environs de 500 nits, comme le montre notre test du Razer Blade 16.
Les mesures montrent également que le taux de contraste est infini, comme sur un écran OLED, car le niveau de luminosité du noir est quasiment indétectable. D’ailleurs, le constructeur annonce un taux de contraste de 100000 :1, ce qui est sans commune mesure avec un écran LCD à rétro éclairage LED classique, dont le taux de contraste est – au mieux – de l’ordre de 1000 :1 ou 1500 :1. Le Razer 18 2024, que nous avons testé en fin d’année dernière, en est l’illustration.
Au final, l’écran du ROG Strix 18 offre le principal avantage de l’OLED (des contrastes exceptionnels), sans son inconvénient. Que demander de plus ? Et, pour ne rien gâcher, la colorimétrie est excellente. En effet, le Delta E moyen mesuré n’est que de 3,2 avec le profil d’affichage utilisé par défaut (SDR, couleurs natives). Rappelons que – par l’intermédiaire de la section GameVisual de l’application Armoury Crate – il est possible d’utiliser un des nombreux profils colorimétriques prédéfinis par le constructeur.
Enfin, pour ce qui est de la colorimétrie, la température moyenne des couleurs mesurée est de 6402 K en HDR, ce qui s’avère très proche de 6500 K, qui représente une colorimétrie parfaitement neutre.
Performances : une veritable bête de concours
Comme nous l’avons déjà indiqué, les performances de l’Asus ROG Strix 18 G835LW proviennent du duo, presque ultime, composé du CPU Intel Core Ultra 9 275HX et du GPU Nvidia GeForce RTX 5080. Seul ce dernier n’offre pas les meilleures performances possibles, puisqu’une autre version du PC portable intègre la GeForce RTX 5090.
En complément, la configuration fait appel à 64 Go de mémoire DDR5 6400 MHz (deux barrettes SO-DIMM) et à un SSD de 1 To. A l’heure où les jeux hyper sophistiqués, comme Indiana Jones et le cercle ancien ou Black Myth : Wukong, occupent chacun environ 130 Go, cela peut sembler peu, finalement. Heureusement, un second emplacement M.2 (compatible PCIe Gen 5) permet d’ajouter un SSD en un clin d’œil.
Précisons enfin que le Strix 18 est compatible Wi-Fi 7, Bluetooth 5.4 et Ethernet 2,5 Gbps.
Ce n’est pas vraiment une surprise, les résultats du CPU Intel, en termes de calculs purs, sont parmi les meilleurs jamais observés. Ils s’avèrent nettement supérieurs à ceux obtenus par les puces Intel Core i9-14900Hx et AMD Ryzen AI 9 HX 370, surtout pour l’indice multi-core. Ainsi, le Core Ultra 9 275HX obtient des indices Geekbench de 3006 (single core) et 19871 (multi core), et Cinebench 2024 de 134 (single core) et 1979 (multi core).
Rappelons également que le processeur graphique Nvidia GeForce RTX 5080 offre un autre avantage, particulièrement intéressant à l’heure actuelle : sa puissance de calcul pour des opérations liées à l’intelligence artificielle est considérable. Le GPU peut en effet exécuter 1334 trillions d’opérations IA par seconde (TOPs), ce qui est sans commune mesure avec la puissance délivrée par les CPU les plus performants en la matière (45 TOPs par exemple pour le Qualcomm Snapdragon X Elite).
Autant dire que la configuration ne manque pas de ressources, si on désire utiliser des applications de montage vidéo, de retouche d’images ou de synthèse. De plus, le temps de lancement des très gros jeux s’avère très rapide. Et, une fois lancés, ces derniers disposent des ressources graphiques nécessaires pour fonctionner dans des conditions optimales (très grand framerate et meilleure qualité d’affichage possible). Il faut dire que le GPU GeForce RTX 5080, même dans sa version mobile, se montre extrêmement performant, comme l’illustrent les scores obtenus avec les différents tests de l’application 3D Mark (mode Performances / mode Turbo) :
- Time Spy Extreme : 10285 / 10 975
- Time Spy : 20242 / 20849
- Steel Nomad : 4676 / 4891
On note que les indices Time Spy / Time Spy Extreme du GPU GeForce RXT 5080 sont supérieurs à ceux obtenus avec la puce GeForce RTX 4090, présente dans différents PC gamer, qui boxent dans la même catégorie « poids lourds » que ce ROG Strix Scar 18, comme l’Acer Helios 18 ou le Razer 18 2024. Par rapport à la RTX 5090 présente dans le Razer Blade 16 2025, les scores de la RTX 5080 de cet Asus Strix sont pour le moins déroutants : autant l’indice Steel Nomad est en faveur de la première puce, autant le score Time Spy est nettement en faveur de la seconde. Lorsqu’on joue, toutes ces notes très élevées se traduisent par des performances de haute volée. Les technologies DLSS 4, Ray Tracing et Path Tracing de Nvidia s’avèrent alors déterminantes (voir notre dossier sur DLSS).
Par exemple, si on lance Fortnite en qualité Epique, on bénéficie d’une réactivité exemplaire, avec des animations comportant entre 130 et 180 images par seconde, selon les situations (DLSS en mode Performances). Et si on désire absolument tirer le meilleur parti des possibilités de l’écran, il suffit de basculer dans la qualité graphique la plus faible pour voir le compteur des fps se bloquer à 240.
Dans Cyberpunk 2077, si on active la génération d’images, autorisée par la technologie DLSS 4, on peut nettement booster les performances. Les animations peuvent alors comporter jusqu’à 150 images par seconde, en moyenne, avec toutes les options graphiques poussées au maximum ! Et avec Indiana jones et le cercle ancien, le framerate moyen se situe aux alentours de 160 / 180 fps, en DLSS Qualité. Il peut grimper à 220 fps en mode DLSS Performances Ultra.
Enfin, avec Black Myth : Wukong, si on pousse tous les paramètres graphiques à fond (qualité Cinematic, DLSS, Ray Tracing), on obtient des animations fluides, comprenant en moyenne 45 images par seconde. Le compteur peut monter jusqu’à 66 fps si on bascule en affichage Full HD (ce qui est quand même dommage pour un jeu d’une telle beauté). Une autre possibilité consiste à désactiver le Ray Tracing et de baisser la qualité graphique pour obtenir des animations comportant 132 fps (en qualité Moyenne). Heureusement, l’éditeur a récemment fait savoir que gestion du DLSS 4 allait arriver très bientôt, lors d’une prochaine mise à jour du jeu, ce qui devrait booster considérablement le framerate.
Comme souvent, lorsqu’on utilise un PC portable aussi performant, le niveau sonore peut s’envoler. Ainsi, si on utilise le profil de fonctionnement Turbo, le bruit généré par les ventilateurs internes est assez élevé. Toutefois, on a déjà entendu pire ! De plus, le bruit est quelque peu atténué par le volume des haut-parleurs, si on joue à un jeu d’action, avec de la musique et des bruitages incessants, comme une course automobile. Mais, lors des dialogues d’un jeu d’aventure, comme le dernier Indiana Jones, le niveau sonore de la ventilation peut justifier l’utilisation d’un casque. A moins de basculer dans le mode Performances, moins bruyant (mais aussi un peu moins performant).
D’autre part, le constructeur a mis tous les moyens pour optimiser le refroidissement des composants. Trois ventilateurs, une chambre à vapeur et du métal liquide tentent de minimiser la montée en température, inexorable lors des séances de jeu intensives. L’air frais est aspiré par les ouvertures situées sur les côtés et sous le PC portable, avant d’être expulsé, un fois réchauffé, par l’arrière du châssis.
Autonomie : parlons d’autre chose, on se fâcherait !
Malgré sa batterie de 90 Wh, l’Asus ROG Strix 18 offre une endurance qui frôle le ridicule. Par exemple, si on désire regarder un film sur Netflix, en Wi-Fi, il faut prendre soin de ne pas en choisir un trop long. En effet, lors de notre test, la batterie s’est totalement déchargée en une heure et demie. Et ce, même si on se place dans des conditions de fonctionnement minimales : luminosité d’affichage ajustée à 200 nits, mode de fonctionnement Silencieux, passage manuel en mode 60 Hz, toutes LEDs éteintes…
Si on utilise le test d’autonomie de l’applications PC Mark (dans les mêmes conditions), le résultat est le même, puisque le PC portable reste en fonctionnement pendant 1 heure et 22 minutes (contre plus d’une dizaine d’heures pour un bon ultrabook, rappelons-le). Enfin, si on désire jouer à Fortnite dans le train, il faudra oublier le TGV, car il n’a fallu que 45 minutes pour vider totalement la batterie.
Encore une fois, la démonstration est faite que ce type de configuration est plus faite pour remplacer un PC de bureau, devant fonctionner connecté à une prise secteur et pouvant être facilement transporté, que de faire office de véritable PC portable, qui sera utilisé par exemple dans le train.
Terminons par un bon point. La recharge de la batterie peut s’effectuer de deux façons : par l’intermédiaire de l’adaptateur secteur (connexion propriétaire) de 380 W, qui a d’ailleurs les mêmes caractéristiques physiques qu’une brique, ou via un des deux ports USB C Thunderbolt, qui supporte la recharge en 100 W maximum (encore faut-il avoir l’adaptateur secteur adéquat).
Alors, on achète ?
A part les inévitables défauts inhérents à une telle configuration – gigantesque et hyper puissante – que sont le poids très élevé, l’autonomie ridicule et le prix équivalent à trois PC portables « normaux » (!), il est difficile de faire la fine bouche face à un tel déploiement de technologies. Avec un châssis qui clignote de partout, des composants qui ne demandent qu’à faire exploser les compteurs, une ergonomie sans faille et un écran qui allie le meilleur des mondes LCD et OLED, ce ROG Strix s’annonce d’ores et déjà comme un des PC portables vedette de 2025.
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La fin justifie les moyens. Et pour que les utilisateurs aient les moyens de jouer dans les meilleures conditions, Asus a regroupé dans ce ROG Strix G836LW tout ce qui se fait de mieux à l’heure actuelle en matière de composants. De plus, le châssis du PC portable dispose de tous les raffinements imaginables, avec une mention spéciale pour l’accès hyper simplifié aux SSD et aux barrettes de RAM. Un formidable ordinateur.
- Enormes performances
- Ecran mini LED très lumineux
- Dispositif AnimeVision
- Affichage mat QHD+ 240 Hz G-Sync
- L’ouverture du châssis sans outil
- Recharge possible via adaptateur USB C
- Les LEDs tout autour du châssis
- La qualité des haut-parleurs
- La connectique complète
- La possibilité d’ajouter un SSD M.2 supplémentaire
- Le poids peu adapté à la mobilité
- Le prix un peu élevé
- La faible autonomie
- Le niveau sonore en mode Turbo